Le 5 octobre 1970Le 5 octobre était le premier jour de la crise. C'était ce jour où James Richard Cross était enlevé par le FLQ. Des membres de la cellule Libération du FLQ ont pris Cross dans le matin. Quatre membres sont déguisés comme des livreurs et ils l'ont enlevé. Ils ont menacé le gouvernement de tuer Cross s'ils ne répondent pas à leurs demandes. Ils ont voulu plusieurs choses comme la libération de 23 membres qui étaient reconnu coupable ou détenu et qui étaient au prison et le FLQ a voulu diffuser sur Radio-Canada leur manifeste. Le 8 octobre, le manifeste a été annoncé sur touts les médias en anglais et français au Québec.
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Le 10 octobre 1970Pierre Laporte a dit que le gouvernement va refuser les demandes du FLQ et le 10 octobre, il était enlevé de sa maison par des membres de la cellule Chénier du FLQ pendant qu'il jouait le football avec son neveu. Le gouvernement fédéral et provincial ont essayé de dédramatisé ces enlèvements, mais la crise s'est aggravé après l'enlèvement de Laporte, et le publique a commencé à paniquer. Cette enlèvement a donné l'impression que le FLQ était une organisation puissante.
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le 13 octobre 1970
Le 13 octobre, le premier ministre, Pierre Trudeau, avait une entrevue avec un journaliste du Radio-Canada. C'était un grand moment pour Trudeau. Il était demandé à propos des soldats armés et ce qu'il va faire pour arrêter le FLQ. Son réponse était «regardez-moi aller» (Just watch me), ce qui est une réponse qui est devenu très connu.
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le 15 octobreLe 15 octobre, le gouvernement de Québec, sous le contrôle de Robert Bourassa, a officiellement demandé l'aide de l'armée canadienne pour aider le police à Montréal. Pendant le même jour, 3000 personnes sont rassemblés à une arène pour supporter le FLQ et leurs idées. L'avocat du FLQ, Robert Lemieux a parlé et donné de l'enthousiasme aux gens qui étaient là. De plus, les groupes séparatistes ont pu parler à l'Université de Montréal. Les séparatistes et les membres du FLQ ont voulu une grève générale et les rassemblements pour supporters des kidnappeurs et les actes terroristes. L'armée est venu aussi pour rétablir l'autorité.
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le 16 octobre 1970C'était pendant ce jour quand le gouvernement de Bourassa et le maire de Montréal, Jean Drapeau, ont officiellement demandé l'aide du gouvernement du Canada. Trudeau a invoqué la Loi sur les mesures de guerre à 16h. C'était le seul fois que la Loi sur les mesures de guerre était invoqué pendant les temps de paix. Dès que ce point, touts les droits civiles et libertés fondamentaux ont été enlevé et les polices ont eu le droit d'arrêter n'importe qui et n'importe quand. Les forces armées canadiennes sont allés dans plusieurs villes au Québec. Plus que 400 personnes étaient arrêtés sans raisons et ils étaient gradé pour des temps variés. La plupart de ces personnes étaient des personnes qui supportaient le nationalisme au Québec.
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le 17 octobre 1970Le 17 octobre était le jour quand Laporte est mort. Les membres de la cellule Chénier du FLQ ont annoncé qu'il a été tué. Les policiers ont trouvé le corps de Laporte dans un coffre d'une voiture à l'aéroport Saint-Hubért où il était abandonné. Le mort de Laporte était le premier assassinat politique au Canada depuis l'assassinat de Thomas d'Arcy McGee, qui s'est passé 102 ans en avant. Ce même jour, les membres de la cellule Libération, ont annoncé que la peine de mort de Cross est suspendue, mais ils ne le relâchera pas sans que leurs demandes étaient satisfait. Le mort de Laporte a marqué le commencement de la fin du FLQ.
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